Il n’y a pas provocation, sinon des événements déclencheurs qui deviennent des « prétextes » à la violence. La personne qui agresse est la seule responsable de ses actes. Personne ne mérite de subir de la violence.
1 novembre 2017
Il n’y a pas provocation, sinon des événements déclencheurs qui deviennent des « prétextes » à la violence. La personne qui agresse est la seule responsable de ses actes. Personne ne mérite de subir de la violence.